En ce jour du 15 septembre 2010 et suite à une intense réflexion avec moi-même, nous avons conjointement décidé de poursuivre ce blog ailleurs.
So, ladies and gentlemen, voici la nouvelle adresse :
http://downsea.fr/wordpress/
Et parce que j’aime bien cette idée de voyager léger, je laisse tous ces vieux articles et commentaires derrière moi ; ainsi ils seront toujours disponibles pour ceux et celles qui s’arrêteront un instant en ces lieux.
Suite des recherches autour de ce conte pour enfants, avec ici l’un des croquis réalisés pour la seconde illustration.
Vous avez aimé les bébêtes de Magna Carta ? Attendez-vous à les voir réapparaître sous une toute autre forme bientôt.
A l’attention de mes visiteurs : dans la mesure où je ne laisse pas de commentaires en retour des vôtres sur ce blog, veillez bien à renseigner une adresse email valide si vous voulez obtenir une réponse : )
Une idée que j’avais en tête depuis longtemps, illustrée par ce premier essai. Il y en aura donc peut-être d’autres.
30 minutes pour dessiner Monsieur W qui se promène dans des endroits avec des ruines dedans. Sacré Monsieur W !
Tiens, on dirait qu’il vient de voir quelqu’un.
Terminé ! Voici la septième et dernière illustration de la série Au sommet de la Cathédrale !
Mon principal regret sera néanmoins d’avoir laissé passer autant de temps entre la première et la septième illustration – et alors qu’un seul mois m’aura été nécessaire pour réaliser les trois dernières ; d’où une flagrante et logique différence de niveau qui me donnerait presque envie de redessiner intégralement les trois premières et de recoloriser la quatrième.
Précisons néanmoins qu’il m’aura fallu attendre la dernière illustration pour que je pose in extremis un visage sur le personnage de Symon. Le fait est que j’ai initialement abordé cette série sans me souvenir précisément de l’histoire originale, et qu’il s’agissait alors pour moi de me concentrer avant toute chose sur l’ambiance et les sentiments ressentis à l’époque au contact de ce monde étrange ; en conséquence les lieux qui donnent corps à ce récit m’importent plus que les personnages eux-mêmes, ces derniers ne faisant à mes yeux que traverser un univers qui s’impose de lui-même et dicte sa loi à tout ce qu’il contient.
Ceci étant dit et en guise de conclusion, je tiens bien sûr à remercier chaleureusement Alain Grousset pour avoir écrit « La citadelle du vertige » et m’avoir ainsi fait voyager de façon si agréable, ainsi que la bibliothécaire anonyme qui m’a un jour posé ce livre entre les mains. Oui, on ne remercie jamais assez les bibliothécaires : )
Monsieur B n’est vraiment pas content : c’est toujours très vexant de voir s’envoler un morceau de la montagne.
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N’en déplaise à Monsieur B, ça m’a pas mal amusé de dessiner autre chose : )
